[Clip] Serge de York – À toi mon père
Lettre à l’inconnu et constat de son désistement, « À toi mon père » éprouve les troubles oniriques et douloureux de l’absence paternelle.
Lettre à l’inconnu et constat de son désistement, « À toi mon père » éprouve les troubles oniriques et douloureux de l’absence paternelle.
Laissant le hasard libérer ses petits bonheurs, « Gingerly » nous invite à profiter de l’épopée ludique et humaniste de Ginger Fear.
Traumatisme noise rock brusquant notre apathie, « Miroir » de Bipolar Club ronge les ongles acérés de nos absences de convictions.
Quand la revendication devient une évidence ; Goldencut ravive l’espoir au fil du discours percutant de son incisif « A Nation of the People ».
L’étonnante fureur emplie de révolte d’une âme en éveil ; « À l’Américaine » d’IMPARFAIT fait imploser les diktats ricains de l’intérieur.
Capturée par les flashes agressifs de la modernité, « Joan » de Dear Deer s’échappe et nous entraîne dans sa quête d’une sauvage vérité.
« Nasty Habits » est un élixir de jouvence où les saturations les plus âpres se heurtent à des chœurs et harmonies sentant bon le patchouli et la sueur.
Little Odetta visite les ères mouvementées et électriques d’une musique immédiate, dont la puissance instrumentale et vocale nous délivre de nos chaînes sanitaires et sociales.