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Comme chaque année, début décembre, les Bars en Trans abondent d’une programmation excessivement alléchante. Le plus dur restant alors de faire son choix parmi la multitude de tentations musicales disséminées dans le centre-ville de Rennes. Pour vous aider à trouver votre bonheur, et qui sait votre itinéraire, dans la programmation et éviter la frustration d’avoir manqué la future sensation indie de demain, voici nos dix bons plans incontournables des Bars en Trans 2019. Suivez le guide !
We Hate You Please Die, Yes Basketball et Dewaere au Penny Lane Pub
Jeudi 5 décembre 2019 – 21h / 00h (10 euros)
Vous avez demandé du rock ? Avec les grands enfants terribles du garage punk rouennais We Hate You Please Die, sensation remarquée des derniers iNOUïS et de Rock en Seine, le math rock sauvage et déjanté des Rennais Yes Basketball et le noise punk explosif des briochins de Deweare vous allez déguster. Une pluie de riffs et un vent de folie à prévoir dans un Penny Lane Pub plus moite que jamais.
Romane Santarelli, Rrobin, Illustre et Supamoon au Méliès
Jeudi 5 décembre 2019 – 20h30 / 23h30 (7 euros)
Les femmes seront particulièrement à l’honneur le même soir au Méliès. On pourra en effet y découvrir l’ardente rappeuse clermontoise Illustre au flow viscéral et conscient dans la veine d’une certaine Keny Arkana, le duo perpignanais Supamoon, curiosité évoluant habilement entre électronique, pop et musique alternative ou encore Romane Santarelli, nouvelle figure de l’electronica française, dévoilant un univers aussi riche que mystérieux et fantasmagorique. À leurs côtés, Rrobin, producteur fétiche de Grems, adepte de beats chauds entre hip-hop underground et house.
Grise Cornac, Theophile, Josué et Driving Dead Girl au Ty Anna
Jeudi 5 décembre 2019 – 20h30 / 00h (gratuit)
Chanson, rap et post-punk se répondent dans le programme bien ficelé du tourneur angevin L’Igloo. Commençons par les talents locaux : Grise Cornac, duo aux chansons pop expressionnistes et Theophile, futur grand de chanson électronique, virtuose fougueux de la nouvelle scène, équilibriste de la francophonie à la corde sensible. Dans l’équation s’ajoutent le quintet bruxellois Driving Dead Girl, pour un revival post-punk brumeux incantatoire et le grime égotripé du Parisien Josué.