Maxime Antoine
Maxime Antoine
2014 qui s’achève bientôt restera l’année de rencontres et de découvertes marquantes. Musicales tout d’abord : je (re)découvre en début d’année Portishead pour lequel je me passionne rapidement, et je décide presque douze mois plus tard de me plonger enfin dans la courte et intense carrière de Nick Drake, qui hante mon mois de décembre de sa mélancolie fiévreuse et nonchalante. C’est aussi l’année de ma révélation en studio comme en live de tUnE-yArDs et de sa chanteuse Merrill Garbus, qui élargit un peu plus mes horizons musicaux et suscite en moi un réel et débordant enthousiasme. Mais rencontres amicales aussi, plus personnelles. Je me fais des amis musiciens ou compositeurs qui partagent avec moi leur passion et me font constamment découvrir de nouvelles choses sur un mode d’échange, j’écris à un rythme plus soutenu et puis je crée avec deux amis une émission de radio musicale. Une année riche et variée en somme, scandée par quelques disques majeurs ou obsédants.
Coups de cœur :
« To Be Kind » de Swans
« St. Vincent » de St. Vincent
« It’s Album Time! » de Todd Terje
« Lost in the Dream » de The War on Drugs
« The Grand Budapest Hotel (OST) » d’Alexandre Desplat