[LP] Peter Silberman – Impermanence
En solo, proche de la magie de The Antlers dont il fait partie, Peter Silberman convoite son « Impermanence » d’une spirituelle et silencieuse beauté.
En solo, proche de la magie de The Antlers dont il fait partie, Peter Silberman convoite son « Impermanence » d’une spirituelle et silencieuse beauté.
Au fil des écoutes, « No Home Of The Mind » de Bing & Ruth réussit sans difficulté l’épreuve de son envergure : apprivoiser la sérénité.
Sous la contemplation venteuse et bleutée de Raoul Vignal, le kaléidoscope de « Hazy Days » ouvre l’imaginaire et trouble notre vision.
Des harmonies somptueuses et des voix parfumées de mélancolie : la rencontre de Richter et de Virginia Woolf est sans précédent, envoûtante et exaltante.
Sous l’impulsion du new-folk céleste de « Lines », Charlie Cunningham nous prouve une fois de plus que la beauté se suffit à elle-même.
« Of Murk And Shallow Water » de 9T Antiope serait comme extrait d’un vieux grimoire, sous couvert d’une influence lucide de ce qui nous entoure.
En prenant plus de pesanteur, AWVFTS se dirige vers l’art cinématographique avec « Iris », toujours conscient de sa subtile et magnifique lévitation.
Jemima Coulter fait l’effet d’une bombe charmeuse et mélancolique, rafistolée dans les années 90 et façonnée par l’espoir que tout reste à faire.